« En lançant le concept de « Djihadou hilm » Khadimou Rassoul avait clairement situé le seul domaine où la compétition méritait de se prévaloir. Dorénavant il ne s’agissait plus de se lancer dans une quelconque entreprise guerrière et violente, mais plutôt, pour le musulman, d’exceller dans l’action de recherche scientifique en ce qu’elle est la clé salvatrice permettant un épanouissement tant spirituel que temporel.
D’ailleurs le premier devoir que Dieu a ordonné à l’homme dans la logique de l’adoration est de s’instruire. La raison est simple: l’homme est doté de bon sens pour comprendre, appréhender, interpréter et dès lors croire avec conviction.
La science est ainsi un leitmotiv dans le Saint Coran. Nous pouvons relever entre autre une invocation qui lui est consacrée dans la sourate Taaha: « Et dis : ô mon Seigneur, fais augmenter ma science …».
Le prophète Mohammed (Psl), dans de nombreux hadiths, fait l’apologie de la connaissance et il n’hésite pas à reconnaitre que « Les savants sont les légataires des prophètes ». L’Elu de Dieu précise également que la « sagesse ajoute de la gloire à celui qui en a été élevé, jusqu’à ce qu’il atteigne les aptitudes des rois. »
Le meilleur des savants Mohammed (Psl) a dit aussi que la mort d’une tribu est plus facile à supporter que la mort d’un savant. Il fait aussi remarquer que «Lorsque meurt un savant, une brèche se produit en Islam que ne peut colmater qu’un autre savant qui vienne lui succéder. » Quoi de plus normal alors que son Serviteur attitré Khadim Rassoul fit le vivificateur de cette pensée !(…) »
Extrait discours, Serigne Khadim gaydel Lô
Khadimrassoul.net